26/06/2013
Parisot
Laurence Parisot est moche, petite, elle a un gros cul, elle est stupide et monomaniaque .... Elle ne pense qu'à ses sous. Fourmi, dans un monde de fourmis, elle se moque totalement de condamner toutes les cigales à mourir de faim. Z'avaient qu'à travailler, ces feignasses !... Parce que Laurence pense qu'elle a beaucoup travaillé, dans sa vie... Il est vrai que, tous les matins de sa vie, elle a dû se maquiller, se préparer méticuleusement, se maquiller, soigner son apparence, un dur labeur quand on est aussi peu charmante, que, après d'épuisantes études à Science-Po, elle a dû reprendre le flambeau familial, une famille inscrite au très select club des "200" ( les 200 familles les plus riches de France) pour finir PDG de l'IFOP, un boulot très dur où l'on doit rester assis jusqu'à dix heures par jour et réfléchir, épuisant, quand on n'est pas au restaurant pour des contrats et, finalement, s'installer dans le très inconfortable fauteuil de "patronne des patrons".... Une épreuve immensément douloureuse.... L'usine ? Vous voulez rire ? Se lever matin pour prendre le bus ou le métro ? Vous n'y songez pas !... Tous les matins, chauffeur, limousine, embouteillages, un supplice... On voit que vous ne savez rien de la vie des riches !... Bande de larves !... C'est Ter - rib - le !... Et voilà pourquoi Laurence pense que vous pouvez bien "travailler" un peu plus... En réalité, elle pense "beaucoup plus"... S'il n'y avait qu'elle, vous travailleriez jusqu'à la mort... Enfin, travailler, c'est histoire de dire.. Parce que ce que vous faites, chaque jour, bande de limaces baveuses, pour Laurence, ça n'est pas du travail... Juste un "machin" pour des esclaves, les pauvres esclaves que vous êtes... D'ailleurs, de manière plaisante, il serait peut-être temps de rappeler que la fortune de Laurence lui vient de l'industrie du bois... Et qui dit bois dit ... Esclavage .... Fouillez un peu et vous découvrirez comment les esclavagistes d'antan sont aujourd'hui reconvertis dans le commerce du bois. Mais il faut se tenir, quand même, se retenir... Et, d'ailleurs, puisqu'on en parle, je vais vous dire la vérité... La vérité sur Laurence... La vérité, c'est que c'est pas tous les jours la fête... Quand on est petite, moche et con comme Laurence, on a peu de chance de remplir la gamelle si, comme c'est le cas de beaucoup de femmes à qui elle refuse des moyens d'existence acceptables, on doit faire le trottoir pour ramener de quoi... Laurence n'aurait pas beucoup bouffé... Vous me direz que, au moins, aujourd'hui, elle n'aurait pas un si gros cul ... Je ne sais pas si on y gagnerait beaucoup ... Laurence, comme vous l'aurez compris, je vous hais ... Et ce que je hais en vous, c'est cette part de soi-disante humanité qui fait que nous-autres, les braves gens, nous devons en chier pour remplir votre assiette, payer les frais exhorbitants dûs au niveau d'existence que vous avez vous-mêmes choisi, pour vous-même, et seulement pour vous-même, en un mot : votre conservatisme réactionnaire.... Vous allez nous quitter, Laurence, et ce devrait être une joie. Manque de chance, on sait déjà que votre remplaçant sera encore pire.... Ne comptez pas sur moi, néanmoins, pour vous regretter... Si vous croyiez un tantinet au "dieu" dont vous vous réclamez, Laurence, il y a bien longtemps que vous auriez rendu les armes... Mais de conscience, vous n'en eûtes jamais un atome et, de lettres, vous n'avez que les neuf qui forment le mot "emmanchée"....
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