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10/02/2011

Islam et démocratie

La défiance occidentale envers les musulmans est plus vivace que jamais, ces temps-ci, une conséquence des événements de Tunisie et d’Egypte. Les tenants de notre belle démocratie brandissent l’épouvantail du régime iranien à qui mieux mieux... A les en croire, si les “islamistes” (rien que ce terme est signifiant..) parviennent à se faire représenter dans les futures instances dirigeantes des pays arabes, le monde basculera dans le chaos. Pourtant, sous nos cieux de perfection, beaucoup de partis politiques se revendiquent de la chrétienté. Les démocrates chrétiens, bien entendu, mais également des partis plus radicaux, jusqu’aux républicains états-uniens, G. Bush en fut l’exemple parfait, qui ne font pas montre d’une modération absolue. En France même, où l’actualité de la frilosité déployée au sujet de la réforme des politiques d’éthique s’approche du conservatisme intransigeant, où nous avons parmi nos politiciens en vue quelques exemplaires d’intégristes chrétiens, De Villiers, Boutin ou Darcos, par exemple, nous ne sommes pas réellement en mesure de donner des leçons. Ce qui est en cause, c’est l’incapacité de se réformer dans laquelle nous enfermons les musulmans, leur déniant, d’emblée, en parallèle à l’évolution en cours dans leurs pays, la possibilité de se réformer et de créer un islam démocratique. Ce qui est en cause, c’est la lutte à mort pour l’influence sur les esprits que mènent les radicaux de tous les bords, leur prosélytisme forcené. C’est aussi la haine qu’engendre, de notre part, et au nom d’une “tradition”, ce combat envers les autres religions qui ne sont ni plus légitimes ni moins que les autres, c’est notre acharnement à défendre notre dieu comme le seul véritable, c’est à dire l’exact opposé, et donc le semblable, de ceux à qui l’on s’attaque.

Commentaires

Dans la famille "A coups de marteau" je demande le résumé de la biographie de Mahomet, par Pascal Pratz, sur le site de Pascal Pratz, écrit par Pascal Pratz lui-même, à partir des divers récits de la vie de Mahomet lus par Pascal Pratz sur le net ou dans les bibliothèques .
Un résumé en maximum le double de mots que n'en comporte le présent article "Islam et démocratie" que je me permet de commenter.
Idem ensuite pour le coran.
Dans cet ordre : la biographie d'abord, le coran ensuite.
Après, et après SEULEMENT, peut-être que Pascal Pratz pourra exprimer une opinion personnelle sur l'islam, parce que pour l'instant Pascal Pratz répète comme un perroquet ce qu'il a entendu par ailleurs et qui le conforte dans sa volonté que la réalité soit comme il souhaite qu'elle soit, indépendamment de ce que la réalité puisse être.
Alors, Pascal Pratz, prêt à faire le résumé des deux livres qui font regretter de les avoir lus ?
Ou bien est-ce que Pascal Pratz préfère le chaud confort des certitudes jamais expérimentées par Pascal Pratz ?
Pendant longtemps on a affirmé que le soleil tournait autour de la terre, c'était même une évidence absolue. Et il valait mieux ne pas vérifier, encore moins être en mesure de prouver que c'était faux, n'est-ce pas Galilée ?
Deux résumés...
La bio de momo...
Puis le coran...

Écrit par : Afficheur libre | 11/02/2011

Mahomet : La Mecque, 570, Médine,632. Personnage un tantinet mégalomane.

Coran : livre réunissant quelques préceptes de bonne santé, imposant, par exemple, les ablutions, bannissant l’adultère en tant qu’il est vecteur de germes ou bien stigmatisant le porc pour le côté malsain de sa chair.

Écrit par : PP | 11/02/2011

Et hop, à pieds joints dans le piège... que l'on ne peut qu'être tenté de vous tendre après avoir constaté votre palestinorastie.
Il est toujours tentant de pousser quelqu'un manifestement partial à démontrer lui-même sa propre partialité.
En effet, vos résumés gomment sciemment et systématiquement, dans les deux cas, les aspects ultra-problématiques pour ne conserver et ne présenter que les aspects positifs, pourtant largement minoritaires.
Pour vous, un sac de 100 patates dont 99 sont pourries est... une patate.
Je pourrai résumer la vie de Landru de la manière suivante : père de famille volage apprécié des femmes... en "oubliant" qu'il en a tué, découpé et brulé plusieurs pour les voler. Simple détail anecdotique de la biographie de Landru, n'est-ce pas ?
Je pourrai aussi résumer Mein Kampf ainsi : "ouvrage unificateur de l'Allemagne lui ayant permis de surmonter la crise de 1929" en oubliant qu'il fut la cause de la seconde guerre mondiale.
Je ne m'attendais pas cependant à lire qu'il existait un animal, mondialement consommé de toute éternité, mais dont la chair serait "malsaine". Vous ignorez donc que dans le cochon tout est bon ? C'est pour cela qu'on l'élève depuis si longtemps, contrairement au rat dont le coran pourtant ne stigmatise pas la chair. Vous devriez en manger pour voir ce que ça donne...

Écrit par : Afficheur libre | 18/02/2011

Une seule question se pose, mon cher et c'est: comment pouvez-vous être aussi lamentablement stupide et inculte et en être fier?

Pour vous aider, je vais faire appel à Mr Brassens:

Quand ils sont tout neufs
Qu'ils sortent de l'œuf
Du cocon
Tous les jeunes blancs-becs
Prennent les vieux mecs
Pour des cons
Quand ils sont d'venus
Des têtes chenues
Des grisons
Tous les vieux fourneaux
Prennent les jeunots
Pour des cons
Moi, qui balance entre deux âges
J'leur adresse à tous un message

Le temps ne fait rien à l'affaire
Quand on est con, on est con
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père
Quand on est con, on est con
Entre vous, plus de controverses
Cons caducs ou cons débutants
Petits cons d'la dernière averse
Vieux cons des neiges d'antan

Vous, les cons naissants
Les cons innocents
Les jeun's cons
Qui n'le niez pas
Prenez les papas
Pour des cons
Vous, les cons âgés
Les cons usagés
Les vieux cons
Qui, confessez-le
Prenez les p'tits bleus
Pour des cons
Méditez l'impartial message
D'un type qui balance entre deux âges

Le temps ne fait rien à l'affaire
Quand on est con, on est con
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père
Quand on est con, on est con
Entre vous, plus de controverses
Cons caducs ou cons débutants
Petits cons d'la dernière averse
Vieux cons des neiges d'antan


Le temps ne fait rien à l'affaire

Georges Brassens

Écrit par : PP | 18/02/2011

Les commentaires sont fermés.