15/04/2009
La baisse
Pour un populiste tel que notre cher N.S., baisser dans les sondages est sûrement la pire des choses. Pour l’égo, c’est entendu, mais également politiquement. Pour asseoir sa politique réactionnaire, il est très important qu’il puisse s’appuyer sur une ou deux études d’opinion qui démontrent que les plus viles idées ont le soutien d’une part importante, voire majoritaire, de l’opinion. La descente le condamne à trouver une autre manière de diriger, ce dont je doute qu’il soit capable. Le voici donc dans des sables mouvants où il s’est lui-même aventuré. Tout le monde vous le dira, dans cette situation, l’agitation est la pire des choses. Notre cher vizir n’est pas près de s’en sortir. S’il doit se calmer, il va falloir l’aider. Radicalement. Notre Zébulon est viscéralement incapable de calme. La castration chimique, peut-être? Ou bien tester sur lui les nouvelles molécules qu’il souhaite voir apparaître pour résoudre les problèmes des criminels qui ont accompli leur peine ou les schizophrènes. En tous cas, je lui conseille d’agir vite. En plus, je soupçonne qu’il ne pourra compter sur l’aide de personne. Il a semé tant de haine et de rancœurs que les autres ne vont lui tendre, pour l’aider soi-disant, que des bâtons merdeux. Se salir les mains, je ne sais pas si c’est son genre. Même dans les cas extrêmes.
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