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30/04/2009

Virus

Vous parler du virus, à chaud, le type même de la fausse bonne idée. Même si c’est pour médire. En fait, ça ne fait que participer à l’humeur ambiante. Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose, disait (peut-être) Beaumarchais. En parler, en bien, en mal, c’est en parler, lui attribuer de la consistance. Comme dieu. J’aurais préféré ne rien dire. Je vais quand même vous faire part de ma circonspection: il tombe drôlement bien, ce virus, non? Mes aînés disaient que, comme par hasard, c’est toujours le week-end qu’il pleut. Que le grand ordinateur n’est pas du côté des masses laborieuses. Ce virus, en pleine contestation globale, qui pourrait donner prétexte à l’interdiction des rassemblements populaires, c’est pas de bol, quand même. Un hasard? Là, j’avoue, je doute!...

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